À vingt dans une cabine conçue pour deux, quand quelqu’un vomit tout le monde le sent !
Un coup de tête ?
M. Lafrance explique qu’il s’est enrôlé sans trop y penser.
Lire et écrire pour les autres
M. Lafrance nous raconte qu’il lisait et écrivait souvent des lettres pour les soldats moins lettrés que lui-même.
Peu d’argent en temps de crise
M. Lafrance nous raconte que la crise économique a sûrement eu un impact sur sa décision de s’enrôler.
Assez vu de front !
M. Lafrance explique pourquoi il a voulu voir l’Europe après y avoir passer trop de mois au front.
Nommer les morts
Un des derniers Canadiens à revenir au pays après la guerre, M. Lafrance a sillonné l’Europe afin de retrouver nos soldats tombés au combat, les identifier et les enterrer dûment.
Ne pas fraterniser avec les Allemands
M. Lafrance parle de l’interdiction de fraterniser avec les Allemands ou les Allemandes lors de l’occupation de l’Allemagne. En fait, il y avait de graves conséquences pour tout soldat pris à le faire.
« C’est lui ou c’est toi ! »
Rien n’est facile à la guerre. M. Lafrance nous parle de la vie de tireur d’élite et partage aussi certaines autres techniques de combat.
Shell Shock
L’expression shell shock est connue par tous les soldats. M. Lafrance nous décrit comment certains soldats avaient de la difficulté à garder leur moral durant les bombardements ennemis.
Mon entraînement à Goose Bay
Pendant la guerre, Rudolphe Blanchard passe plusieurs mois à Goose Bay (Terre-Neuve). Il participe à un entraînement rigoureux dans le but de se préparer à d’éventuelles missions dans les Alpes françaises.
Un retour difficile
Après la guerre, Rudolphe Blanchard retourne au Nouveau-Brunswick. Il nous raconte son retour et les difficultés associées à sa réintégration dans la vie civile.
Le courage d’avancer
Rudolphe Blanchard nous parle d’une mission lors de laquelle il est capturé par les Allemands. Dans cette capsule, il est question de courage mais aussi de la peur qui habitait les soldats.