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Visite de courtoisie au séminaire

Visite de courtoisie au séminaire

M. Turcot raconte qu’à la fin de son année au séminaire on lui avait refusé un ruban de couleur kaki, soit la couleur de la profession militaire qu’il avait choisie, alors il n’a pas assisté aux cérémonies de fin d’année. À son retour au Canada après avoir été blessé en Sicile en 1943, durant la période des Fêtes, il se rend au séminaire de Québec, où il rencontre Mgr Gagnon, lequel le félicite. À ce moment-là, il était devenu lieutenant-colonel.

Après Dunkerque; le « Cirque McNaughton » et cantonnement à Caterham.

Après Dunkerque; le « Cirque McNaughton » et cantonnement à Caterham.

M. Turcot raconte qu’en Angleterre il a dû faire de la reconnaissance pendant près d’un an. À l’automne de 1940, il y a eu des bombardements intenses par les Allemands; les avions tombaient partout. La division de M. Turcot est demeurée à Caterham pendant 18 mois.

Entrée au Royal 22e Régiment, traversée en Angleterre en 1939 et deux faux départs pour la France en 1940.

Entrée au Royal 22e Régiment, traversée en Angleterre en 1939 et deux faux départs pour la France en 1940.

M. Turcot raconte son entrée au 22e. Il est nommé officier du transport et quitte pour l’Angleterre en décembre 1939. Deux fois on lui dit de se rendre au port d’embarcation pour la traversée à destination de France, mais chaque fois le voyage est annulé.

Éducation, choix de carrière et engagement

Éducation, choix de carrière et engagement

M. Turcot raconte qu’il vient d’une famille de médecins et que son père le voyait médecin, mais quand il s’est joint aux Voltigeurs, il a eu l’occasion, pendant l’été, de participer à un camp militaire avec le Royal 22e Régiment, au Camp Borden. C’est à ce moment qu’il a décidé de faire une carrière militaire. Après avoir obtenu son B.A. de l’Université Laval, il s’est joint au Royal 22e Régiment, où on lui a conféré le grade de lieutenant.

Les camarades qui restent

Les camarades qui restent

M. Brisebois explique qu'il reste peu de camarades de son regiment qui ont fait le raid sur Dieppe.

Les occupations d'après-guerre

Les occupations d'après-guerre

M. Brisebois parle de sa vie en général et de ses emplois.

Le travail à l'arsenal

Le travail à l'arsenal

M. Brisebois quitte l’armée en 1947 et se trouve un emploi avec le RCEME, Royal Canadian Electrical Mechanical Engineers. Il y travaille jusqu’à sa retraite, à l’âge de 60 ans.

Travail à l’arsenal, mariage, enfants

Travail à l’arsenal, mariage, enfants

M. Brisebois parle de son travail d'administrateur à l’arsenal.

Le raid sur Dieppe

Le raid sur Dieppe

M. Brisebois décrit le temps qu’ils ont passé dans les péniches et comment les avions alliés les ont protégés, à leur retour en Angleterre.

Le raid sur Dieppe partie 2

Le raid sur Dieppe partie 2

M. Brisebois raconte les moments passés dans les péniches. Il explique que leur embarcation est finalement retournée vers Newhaven, en Angleterre. Aucun homme n’est descendu sur la plage, seulement trois chars d’assaut.

Le raid sur Dieppe partie 1

Le raid sur Dieppe partie 1

M. Brisebois décrit la façon dont s’est déroulé le raid sur Dieppe. Au départ, à Liverpool, l'aumônier était présent, et c’est en le voyant qu’il s’est rendu compte que le jour crucial était arrivé.

L’entraînement pour Dieppe partie 3

L’entraînement pour Dieppe partie 3

L’entraînement se poursuit, et M. Brisebois est avisé qu’il devra changer de peloton; il ira avec le peloton no 13 et il participera au raid sur Dieppe.

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