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804 résultat(s) pour votre recherche - branch : Armée
L’entraînement pour Dieppe

L’entraînement pour Dieppe

Le désappointement s’installe car les marées empêchent le raid sur Dieppe d'avoir lieu.

L’entraînement en préparation pour Dieppe.

L’entraînement en préparation pour Dieppe.

M. Brisebois parle de l’entraînement à l’Isle of Wight, juste avant le raid sur Dieppe.

Entraînement

Entraînement

M. Brisebois décrit l’entraînement qu’il suivant et l’équipement qu’il avait à sa disposition.

Entraînement en Angleterre

Entraînement en Angleterre

Lorsqu’il n’y avait pas d’entraînement, M. Brisebois en profitait pour visiter l’Angleterre.

Voyage vers Aldershot

Voyage vers Aldershot

M. Brisebois décrit la traversée de l’Islande vers Aldershot, en Angleterre, laquelle a durée deux jours. Tout le monde a souffert du mal de mer.

Son travail en Islande

Son travail en Islande

Rendu en Islande, la compagnie C s'est employée à construire un aéroport. M. Brisebois donne beaucoup d’information sur l’Islande et sur ce qu’il faisait pour se distraire.

Le voyage outre-mer

Le voyage outre-mer

Pendant que son entraînement se poursuit à Valcartier, M. Brisebois est informé que, le 1er juillet 1940, il s’en va outre-mer. Il s’embarque donc sur l’Empress of Australia à Halifax et il débarque en Islande.

Le soldat canadien-français

Le soldat canadien-français

M. Faribault raconte la vie de tous les jours durant la guerre en citant divers exemples.

La population allemande

La population allemande

M. Faribault parle du temps où il était en Allemagne et du marché noir qui s’y faisait.

La peur

La peur

M. Faribault parle de la peur ressentie durant la guerre et de la perte de quatre de ses hommes.

Le retour et l'accueil au Canada

Le retour et l'accueil au Canada

Après avoir fêté à Paris, M. Faribault a été envoyé en Angleterre pour préparer le retour du régiment. Puisqu'il n'y avait pas de bateau pour revenir au Canada, M. Faribault profita de ses congés pour aller à Londres, où il a dépensé tout son argent. Finalement, le 28 octobre, il est revenu au Canada à bord du Queen Elizabeth, et il a pu retrouver les siens à Montréal.

Célébrer la fin de la guerre à Paris

Célébrer la fin de la guerre à Paris

M. Faribault raconte que, après Berlin, on lui a remis un laissez-passer de neuf jours pour Paris où il a bien mangé et bu du bon champagne. Il parle aussi de ce qu'il a vendu sur le marché noir pendant qu'il était à Berlin.

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