Madame Boutin parle des nombreux déplacements et déménagements que doivent subir les militaires et que pour de jeunes enfants, ça implique de recommencer dans de nouvelles écoles.
Je suis capable de savoir si une personne est militaire
Madame Boutin raconte qu’elle peut dire, sans connaitre une personne, si elle est militaire ou non, car les gens des Forces ont une manière d’agir et de parler qui leur est caractéristique.
Sans administration, les gars ne partiront pas
Madame Boutin explique l’importance de l’administration avant, pendant et après les déploiements des troupes sur le terrain.
Les premières semaines, c’est une adaptation
Madame Boutin nous parle de ses premiers pas dans les Forces, de ses impressions lorsqu’elle a fait le cours de recrues et du métier qu’elle a choisi.
Enrôlée à 27 ans dans les Forces
Madame Boutin raconte avoir attendu après la naissance de son enfant avant de s’enrôler et que des gens de sa famille doutaient qu’elle allait réussir.
Le 11 novembre
M. Lehoux partage ses sentiments lorsqu’arrive le 11 novembre, le jour du Souvenir.
C’est là vraiment que la réalité a frappé
M. Larocque évoque son souvenir des règles d’engagement et raconte que très tôt après être arrivé en Afghanistan, le malheur a frappé le Royal 22e Régiment.
Marqué au fer rouge
M. Bellehumeur explique comment il a fait pour gérer ses émotions face à des situations difficiles et comment cela affecte la gestion des émotions de retour à la maison.
L'horreur le 20 mars 2009 en Afghanistan
Mme. Dupuis se remémore une journée tragique en mars 2009, lors de sa seconde rotation en Afghanistan. La perte de camarades a porté un dur coup à son moral.
L’aéroport à Sarajevo en juillet 1992
M. Vachon raconte le long trajet vers l’aéroport de Sarajevo, où le Royal 22e Régiment a joué un rôle important pour permettre l’arrivée de l’aide humanitaire. Leurs actions ont été reconnues en 2002 avec la mention élogieuse du commandant en chef.
D’Haïti au Canada
En attendant un taxi, M. Gilbert rencontre un touriste qui changera sa vie à jamais. Il s’agit du docteur Loyola Peraz de l’hôpital Sainte-Justine de Montréal. Grâce à lui et à la conversation qui s’en suit, M. Gilbert deviendra bientôt Canadien.