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40 résultat(s) pour votre recherche - branch : Forces Canadiennes
Il faut que je vive avec ça aujourd’hui
Madame Boutin nous confie qu’elle a perdu son emploi dans les Forces en raison de problèmes graves de santé et que ces deuils ont un impact dans la vie de tous les jours.
Sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre
Madame Boutin raconte qu’elle et son mari, aussi militaire, sont conscients qu’il aurait été possible que les deux soient déployés en même temps, mais que les forces offrent du support si cela doit arriver.
Je rentrerais dans les Forces tout de suite
Madame Boutin dit que si elle avait le choix, elle entrerait à nouveau dans les Forces, mais avec un métier différent.
Le cours des « Pairs aidants »
Madame Boutin partage avoir suivi un cours qui lui a fait rencontrer des militaires ayant subi des épreuves ou des blessures, et que ces rencontres ont été marquantes pour elle.
Il faut persévérer
Madame Boutin parle des épreuves qu’il faut vivre pour apprendre.
Le plus difficile, c’est les déménagements
Madame Boutin parle des nombreux déplacements et déménagements que doivent subir les militaires et que pour de jeunes enfants, ça implique de recommencer dans de nouvelles écoles.
Je suis capable de savoir si une personne est militaire
Madame Boutin raconte qu’elle peut dire, sans connaitre une personne, si elle est militaire ou non, car les gens des Forces ont une manière d’agir et de parler qui leur est caractéristique.
Sans administration, les gars ne partiront pas
Madame Boutin explique l’importance de l’administration avant, pendant et après les déploiements des troupes sur le terrain.
Tu te rends compte que ta vie vient de changer
M. Lehoux raconte comment s’est produit l’accident qui a causé l’amputation de sa jambe droite.
La camaraderie est vraiment incroyable
M. Lehoux parle de la camaraderie qui se développe dans les Forces.
C’était l’infanterie ou rien
M. Lehoux explique son rôle dans la réserve et comment l’entrainement s’est déroulé. Il confie qu’il a toujours voulu faire partie de l’infanterie.
Enrôlement dans les Forces armées canadiennes à 16 ans
M. Lehoux raconte avoir toujours voulu être dans l’armée et de s’être enrôlé à 16 ans, une décision qui n’a pas surpris ses parents.
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