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866 résultat(s) pour votre recherche - war : Seconde Guerre mondiale

Pas le choix d’apprendre l’anglais

À son arrivée à Brockville au Collège militaire, M. Chouinard a été confronté aux difficultés liées au fait d’être francophone, il nous raconte comment il s’en est sorti.

Donner sa santé à l’armée

M. Boudreau a terminé son entraînement mais il est retenu à Fredericton pour enseigner l’entraînement de base aux nouveaux. Sa santé est grandement affectée et sa chance de participer activement à la guerre aussi.

L'anglais sert dans une compagnie francophone

M. Boudreau arrive dans l'armée dans une compagnie francophone et est le seul soldat bilingue, heureusement qu'il comprenait l'anglais sinon personne n'aurait compris le discours du commandant.

Tout un baptême

M. Boudreau passe le test final de l’entraînement avancé. Il doit traverser une rivière, des tireurs sont postés plus loin avec des fusils.

Le retour au bercail

M. Pouliot raconte son retour en Amérique jusqu’à Québec où les héros célèbrent la victoire avec leurs familles lors de la journée Civique.

Garder contact

M. Pouliot avait l’habitude d’écrire à sa famille tous les soirs. Il raconte pourquoi certaines de ses lettres envoyées à la famille ne se rendaient pas.

Fonctionnement d’un canon

M. Lanteigne nous explique le fonctionnement des canons et raconte pourquoi il n’aimait pas l’artillerie.

S’avancer et se replier

M. Lanteigne était ambulancier de campagne. Il devait suivre le mouvement de la ligne de front. Il nous raconte comment il a été lui aussi transporté à l’hôpital.

Apprendre l’anglais

M. Huot traverse l’Atlantique sur le bateau NCSM Saint-Laurent en direction de l’Irlande. Il y a très peu de Canadiens français à bord. Il n’a pas le choix d’apprendre l’anglais s’il veut communiquer avec les autres.

Profiter du rationnement

Autant en Amérique qu’en Europe, l’alcool et la nourriture étaient rationnées. M. Huot raconte comment il a profité de cette situation.

En pénitence

Alors pris en faute, M. Huot est en pénitence sur le bateau. Plus tard à Québec, il offrait aux prisonniers allemands de partir.

Faire sauter l’ennemi

M. Huot nous explique comment les sous-marins ennemis étaient repérés. Ils utilisaient des bombes appelées charges de profondeur pour les faire sauter.

Date de modification :: 2019-02-19