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occupation : Mécanicien
Menace de grève
Une fois la guerre terminée, et après plusieurs mois d’attente, les hommes décident qu’ils veulent rentrer au Canada…
Mauvais tireur
Monsieur Bégin, qui n’avait pas eu à manier une seule arme de toute la guerre, est soudainement envoyé au champ de tir.
Chivenor – entretien mécanique
Stationné à la base militaire britannique de Chivenor, non loin de la ville de Barnstaple dans le North Devonshire, M. Bégin entretient des avions Wellington pour l’escadrille canadienne no 407. Il nous parle de ses tâches.
Chivenor – les Wellingtons
Stationné à la base militaire britannique de Chivenor, non loin de la ville de Barnstaple dans le North Devonshire, M. Bégin entretient des avions Wellington pour l’escadrille canadienne no 407. Il nous parle de leurs missions.
Erreur sur la personne…
Arrivé au Royaume-Uni, M. Bégin passe quelque temps au dépôt des effectifs. Il nous raconte pourquoi…
À bord du RMS Mauretania
En octobre 1944, alors stationné à Jarvis (Ontario), M. Bégin apprend que sa prochaine station sera au Royaume-Uni. Il nous raconte sa traversée, accompagné de 9 000 autres hommes.
Consigné aux quartiers
M. Bégin nous raconte sa première punition militaire.
Paie et grades
M. Bégin nous parle de l’échelle salariale et des grades chez les aviateurs mécaniciens canadiens de la Seconde Guerre mondiale.
« Mon nom est Bégin »
Après son enrôlement et un séjour à Toronto afin d’apprendre l’anglais, M. Bégin est envoyé à sa première station, où il comprend que c’est la langue anglaise qui domine la vie militaire de l’époque.
Quelques anecdotes
Jean-Luc Dutil nous raconte deux anecdotes; l’une concernant la nourriture et l’autre la relation entre femmes et marins.
La vie en mer
Jean-Luc Dutil nous décrit la vie à bord d’un navire de la marine marchande.
Je voulais voir le monde
Jean-Luc Dutil s’est enrôlé dans la marine marchande à l’âge de seize ans. Il nous parle de ce qui l’a poussé à devenir marin.