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occupation : Mécanicien
Un coquelicot en souvenir
À chaque année, Jean-Luc Dutil rencontre des adolescents dans les écoles. Il nous parle de l’importance de raconter à la nouvelle génération ce qui s’est passé lors de la Seconde Guerre mondiale.
Pourquoi le monde est sans amour?
Réflexion sur la guerre et la désolation dont M. Dutil a été témoin.
Un très long voyage
M. Schingh décrit son plus long vol qui dura près de 60 heures.
Moscow Molly
M. Schingh raconte la navigation de nuit au-dessus de la mer de Bering.
Un coup d’oeil sur l’armada d’invasion d’Inchon.
M. Schingh décrit comment un bris mécanique lui a permit de voir les préparatifs de l’armada d’invasion d’Inchon.
Un vol particulier
M. Schingh nous raconte son initiation au vol acrobatique.
À bord des avions
M. Schingh raconte qu’un mécanicien devait accompagner les pilotes pour s’assurer que les avions étaient prêts au combat.
Changements dans l’aviation
M. Schingh décrit l’évolution de l’Aviation Royale du Canada durant les années 1940.
Un intérêt pour l’aviation
M. Schingh raconte sa passion pour les avions, héritée de son père.
Bombarder Cologne et ses industries
Cologne était une ville allemande où l’on produisait beaucoup d’équipement militaire. Les avions de la 425e Escadrille partaient souvent bombarder Cologne. Réflexion sur les civils tués durant la guerre.
Entretenir et perdre des avions
M. Paquin explique son travail de mécanicien alors qu’il devait assurer l’entretien des avions. Il parle aussi des pertes d’avions, ce qui était chose commune durant la guerre.
Le Canada entre en guerre
M. Paquin explique sa situation au moment où la guerre éclate, ainsi que ce qui les a motivés, lui et ses frères, à partir pour la guerre. Il parle aussi des loisirs auxquels il s’adonnait en Grande-Bretagne lors de ses temps libres.