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campaign : Jour-J
Ce qui m'a aidé à passer au-travers de la guerre
M. Maisonneuve parle des femmes qui l’ont aidé à garder le moral pendant la guerre et des lettres de guerre qui ont été détruites.
Célébrations de fin de la guerre assombries
M. Maisonneuve témoigne de la fin de la guerre, le 8 mai 1945. Son unité était en Allemagne et les militaires ne pouvaient se joindre à la population locale pour célébrer. Un accident a coûté la vie à un camarade, ce qui a grandement assombri les célébrations.
Des bombes incendiaires sur Londres
M. Maisonneuve relate les soirées en 1940, alors qu’il est en entrainement en Angleterre, où ses camarades et lui allaient aider à combattre les incendies causées par les bombes incendiaires allemandes sur Londres.
Les fusées V1 et V2
M. Maisonneuve parle brièvement des V1 et V2, des armes allemandes qui faisaient des dégâts en Angleterre.
Enterrer des soldats dans les champs
M. Maisonneuve décrit l’enterrement de soldats à proximité du lieu où ils mouraient, souvent dans les champs des fermiers.
Des blindés spéciaux : le Flail et le Crocodile
M. Maisonneuve parle de deux chars d’assaut spéciaux utilisés en Normandie : le Flail (ou blindé à fléaux) et le Crocodile.
Typex pour encoder et décoder les messages
M. Maisonneuve décrit Typex, la machine utilisée pour coder et décoder les messages militaires.
Il faut reconnaître le canon 88 mm allemand
M. Maisonneuve explique le danger que représentait le canon 88mm allemand, qui produisait un son distinctif.
Le camion Bedford est transporté jusqu'en France le jour J
M. Maisonneuve décrit comment il a traversé la Manche lors du jour J avec la 3e Division, du camion qui servait à faire fonctionner son équipement de communications, de même que de son débarquement en France.
Dans une caserne à Aldershot
M. Maisonneuve parle du relatif confort de la caserne où il était logé en Angleterre.
Traverser vers l'Europe à bord du Batory
M. Maisonneuve parle du bateau sur lequel il a fait la traversée de Halifax vers Greenock en Écosse en novembre 1939.
Une raison de plus pour libérer la France
M. Maisonneuve explique que ses ancêtres étaient originaires du nord de la France. Il avait donc une raison de plus de s’enrôler.