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occupation : Pilote de chasse
L'armée canadienne : un monument à notre pays
Selon M. Lord, malgré l'image parfois négative que nous renvoient les médias de nos forces armées, nous devrions en être fiers, car le reste du monde nous apprécie !
Mes commandants
M. Lord nous explique avec respect, et un certain regret, pourquoi il a eu quatre différents commandants en sept mois.
Jour de l'an 1945
M. Lord nous raconte en détail le jour trépident où toute son escadre fut sauvée d'une attaque surprise par le manque de professionnalisme de certains pilotes amateurs allemands.
Routines d'après guerre
La guerre terminée, les pilotes s'occupaient comme ils le pouvaient. La fête n'était pas exclue du programme, bien sûr, mais il fallait également garder un oeil sur les Russes avec qui les relations se refroidissaient.
La victoire, ça se fête en grand !
M. Lord nous explique pourquoi lui et les siens ont vécu deux jours de la victoire et comment, lui, tout particulièrement, a pu faire la fête pendant plusieurs jours.
Un échec fait victoire !
Tout en décrivant une mission et ses objectifs, M. Lord nous raconte comment manquer sa cible peut parfois être une très bonne chose...
La mort au combat
La mort imminente de tous et chacun était quelque chose avec lequel il fallait apprendre à composer. C'était ça ou quitter les forces.
Aucune accusation de lâcheté à l'escadre canadienne de Typhoon
Certains militaires étaient parfois renvoyés pour lâcheté (LMF - Lack of Moral Fibre en anglais), mais jamais à l'escadre canadienne de Typhoon. Les commandants préféraient les vacances aux décharges...
La protection divine de Santa Maria
M. Lord raconte pourquoi il baptisait tous ses avions Santa Maria et comment la protection divine l'a sauvé de la mort.
Premières missions de l'escadre 438 en Hollande
Au fil de cette capsule, nous comprenons le déroulement et les dangers d'une journée dans la vie d'un pilote de guerre.