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Blessé plus d'une fois
M. Doiron décrit comment il a été blessé en Belgique.
Un camarade tué par un obus
M. Doiron raconte la mort tragique d’un camarade lors d’un repas au front en Belgique.
Les biscuits hard tack, le corned beef et la soif
M. Doiron parle de nourriture au front et que bien qu’ils n’avaient pas des repas très élaborés, la soif les affectait plus que la faim.
La ligne de front et le repos
M. Doiron se rappelle qu’il passait plus de temps au front qu’au repos.
On ne peut pas oublier la Seconde Guerre mondiale
M. Doiron parle des commandos et à quel point ils étaient efficaces à se déplacer sans faire de bruit.
En Hollande d'octobre 1944 à mai 1945
M. Doiron décrit une action difficile de nuit pour prendre le pont de Nimègue en Hollande.
Sauver le barrage en Hollande
M. Doiron se rappelle que les Alliés devaient avancer rapidement pour empêcher les Allemands de détruire un barrage en Hollande.
Je n'ai pas célébré la fin de la guerre
M. Doiron explique qu’à la fin de la guerre, il était fatigué et heureux, mais en raison de toutes les pertes subies, lui et ses camarades n’ont pas célébré beaucoup.
Aider la Croix-Rouge pour des enterrements
M. Doiron parle avec émotion de la difficile tâche d’enterrer les morts.
Je n'ai jamais regretté l'Armée canadienne
M. Doiron est fier d’avoir fait partie de l’Armée canadienne.
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