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Affecté sur la nouvelle frégate Ville de Québec

Des héros se racontent

Affecté sur la nouvelle frégate Ville de Québec

 

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Vous avez décommissionné le bateau, on est à la fin des années 1990, qu’est-ce qui se passe ensuite? J’ai été transféré sur la base à Halifax. J’ai travaillé au mess des officiers pendant une couple d’années. Après j’ai été posté sur le NCSM Ville de Québec, les nouvelles frégates, dans ce temps-là elles étaient neuves, pendant trois ans. Je m’en souviens, j’étais super content parce que le Provider, on avait pas d’air climatisé, c’était vieux, c’était crotté. Le Ville de Québec c’était une nouvelle frégate, il y avait l’air climatisé, c’était plus beau, il y avait un petit peu moins de monde, je pense qu’ils étaient 250. Mais on travaillait fort en maudit. On travaillait beaucoup. On partait souvent et c’était un peu la même chose que sur le ravitailleur, on s’est promenés un peu partout. C’est un travail qui est très difficile physiquement, spécialement dans la Marine, quand il y a des tempêtes, les mers sont pas belles, le monde sont couchés parce qu’ils ont le mal de mer, toi, tu travailles encore, il faut qu’ils soient nourris. C’est un métier très demandant. Vous avez vécu des tempêtes en mer? Oui, beaucoup. J’ai eu le mal de mer une couple de fois. Après ça, tu retiens ton pied marin comme ils disent, après une couple de semaines, tu as ton pied marin. Là, les choses vont bien, mais on a passé au travers, une couple de fois, des grosses tempêtes. Ça, c’était pas le fun. Il fallait s’attacher dans le lit le soir quand on allait se coucher, on avait une ceinture pour s’attacher pour pas qu’on tombe.

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