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location : Canada
Les préjugés du syndrome post-traumatique
Mme. Dupuis parle des défis de demander de l’aide lorsqu’on subit un syndrome post-traumatique.
Canonnière, surveillant et chauffeur sur le Coyote
Mme. Dupuis explique les différents rôles pour lesquels elle a été formée sur les véhicules comme le Leopard ou le Coyote.
Enrôlement dans la réserve et ensuite dans l'armée
Mme. Dupuis raconte comment la Crise d’Oka a influencé son choix de carrière et son passage des cadets, à la Force de réserve jusqu’aux Forces régulières.
Enrôlement et entraînement
M. Berthiaume raconte les raisons pour lesquelles il s’est enrôlé ainsi que son entrainement.
La reconnaissance de la population au Canada
M. Vachon décrit les changements dans la perception des militaires par la population au Québec et au Canada depuis les missions en Afghanistan ainsi que les différences dans la manière avec laquelle les militaires sont remerciés aux États-Unis.
Le jour du Souvenir 2009, au retour de l’Afghanistan
M. Vachon explique comment il a vécu le jour du Souvenir à son retour d’Afghanistan en novembre 2009.
La crise du verglas de 1998
M. Vachon explique ses tâches lors de la crise du verglas de 1998 alors qu’il était déployé dans la région de Saint-Bruno-de-Montarville. Il nous raconte les raisons pour lesquelles il n’a pas aimé cette expérience alors qu’il servait dans sa province en temps de crise.
Enrôlement
M. Vachon raconte qu’il a toujours voulu être un soldat et qu’il a persévéré malgré les difficultés.
Réflexions sur le jour du Souvenir
M. Maisonneuve parle de ses racines françaises et décrit comment il a été impliqué dans l’organisation de commémorations du jour du Souvenir dans sa communauté.
Ce qui m'a aidé à passer au-travers de la guerre
M. Maisonneuve parle des femmes qui l’ont aidé à garder le moral pendant la guerre et des lettres de guerre qui ont été détruites.
Une raison de plus pour libérer la France
M. Maisonneuve explique que ses ancêtres étaient originaires du nord de la France. Il avait donc une raison de plus de s’enrôler.
L’Atlantique nord était un lien vital
M. Bruneau réaffirme que la bataille à laquelle il a participé était une guerre silencieuse, une guerre de patience et surtout une guerre où il fallait maintenir le lien vital entre l’Amérique et l’Europe, coûte que coûte.