M. Turcot parle de la fin de la guerre lorsqu’il était en Hollande et de tous les prisonniers allemands qu’il a vus, dont plusieurs SS.
La Hollande et les prisonniers allemands
M. Turcot parle de la participation de son régiment à la campagne en Hollande et des Allemands qu’ils ont capturés à Apeldoorn.
Le rationnement des munitions
M. Turcot parle du rationnement des munitions, dont les obus.
Manque de renforts après le jour J
M. Turcot a rejoint le régiment à Cattolica, et il parle des problèmes qu’il avait en raison du manque de renforts, lesquels étaient tous envoyés pour le débarquement en Normandie.
Retour au régiment en Italie et
M. Turcot raconte que lorsqu’il a été évacué, il est revenu au Canada et on lui a confié la charge de l’entraînement à Valcartier. Il a très vite été nommé commandant adjoint et est retourné en Italie. Là, il a retrouvé son ancien chauffeur Guy Robitaille.
Bataille des Monts Santa Maria et Scapello et son évacuation.
M. Turcot raconte les durs combats du 22e en Sicile pendant l’été 1943, au cours desquels il a été blessé par un éclat d’obus.
Évacuation
M. Turcot parle de son évacuation et des soins qu’il a reçus pour sa blessure en Sicile.
Les anciens prisonniers
M. Turcot parle d’un groupe de gars, des anciens prisonniers qui ont été envoyés comme renforts au début de la guerre, lorsqu’il était à Ferring, en Angleterre. Ceux-ci ont tous été placés dans le même peloton, et il en avait la responsabilité.
Bataille du « Fer à Cheval »
M. Turcot raconte comment ça s’est passé lorsqu’ils ont débarqué en Sicile et qu’ils ont dû établir des positions défensives après avoir été attaqués par les Allemands.
Invasion de la Sicile
M. Turcot raconte qu’ils n’ont pas frappé d’Allemands immédiatement après le débarquement jusqu’à leur première bataille au « Fer à Cheval. »
Embarquement vers la Sicile
M. Turcot parle de son entraînement en Écosse avant de s’embarquer pour l’invasion de la Sicile au printemps de 1943. Le voyage a duré 3 semaines, car ils ont dû faire un grand détour par le détroit de Gibraltar afin de ne pas être repérés par les troupes ennemies sur la côte de l’Europe.
Lcol Paul-Émile Bernatchez
M. Turcot parle des différentes personnes qui commandaient le régiment auquel il appartenait, et surtout du lcol Bernatchez. Il est heureux lorsqu’il apprend que celui-ci prend le commandement. Il parle du temps où le bataillon s’est retrouvé sur la rivière Senio en Italie et que les Allemands étaient tout près.