804 résultat(s) pour votre recherche -
branch : Armée
« À bas l’ONU, à bas l’ONU »
M. Labelle nous fait part d’une situation explosive qu’il a réussi à désamorcer lors d’un attroupement au Congo.
Escorter un messager vers Mobutu
M. Labelle raconte une mission dangereuse où il devait escorter un messager vers le général Mobutu.
Tous les soirs, ça tirait
M. Labelle décrit certaines situations où il a été témoin de violences lors de sa rotation au Congo en 1960.
Armé à l’arrivée au Congo en 1960
M. Labelle raconte ses déplacements du Canada vers le Congo en 1960 et qu’il y avait des risques de violence à l’arrivée, c’est pourquoi lui et ses camarades sont sortis de l’avion armés et prêts à se défendre si nécessaire.
Avec l’OTAN en Allemagne lors de la guerre froide
M. Labelle parle de son premier déploiement à Verl, en Allemagne, entre 1956 et 1958, dans le contexte de la guerre froide, où il y avait parfois des Russes qui s’aventuraient en territoire interdit.
Des moments marquants à Tokyo
M. Labelle se remémore des rencontres brèves mais marquantes lors de son service à Tokyo.
Patrouiller à Kure et Tokyo
M. Labelle décrit son rôle de patrouilleur avec la police des ports à Kure et Tokyo.
« Mutton, mutton, mutton »
M. Labelle parle de son arrivé au Japon dans le contexte de la fin de la guerre de Corée et du fait que les habitudes alimentaires des Britanniques était différentes.
Un jour, je vais être militaire
M. Labelle explique que dès un jeune âge, il savait qu’il voulait être soldat, car son père, qui servait durant la Seconde Guerre mondiale, lui montrait certains exercices militaires.
Ceux qui déclarent la guerre devraient faire la guerre
M. Farley évoque ses impressions face aux raisons pour lesquelles le Canada a déclaré la guerre. Il parle aussi de ses sentiments face au jour du Souvenir en fonction des sacrifices en vies humaines.
Une grande amitié avec un cuisinier allemand
M. Farley explique comment une amitié improbable avec un Allemand s’est développée pendant la guerre.
On ne réalise pas la peine qu’on fait à nos parents
M. Farley raconte avec émotion les sacrifices qu’il a fait endurer à sa famille, surtout à sa mère, par son service militaire.