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war : Guerre de Corée
La portée de mes canons
Chaque canon a une variété de charges utilisables tout dépendant de la longueur de tir voulue. Monsieur Landry nous parle de ce qu’il avait à sa disposition et des résultats obtenus selon les cas.
Réfléchir et rester marqué
Monsieur Landry nous parle des pensées lui traversant l’esprit lorsqu’il devait tirer sur l’ennemi, ainsi que des souvenirs qui l’ont marqué.
La cote 187
La nuit du 2 au 3 mai 1953 aura lieu la bataille la plus coûteuse de la guerre de Corée pour les troupes canadiennes : 30 morts, 41 blessés et 11 prisonniers, dont 22 soldats coréens en service au sein du Royal Canadian Regiment. Monsieur Landry nous raconte sa part de cette bataille mémorable.
L’armistice de Panmunjom
Après la signature de l’armistice c’est fête et confusion. Monsieur Landry nous raconte que « cessez-le-feu » ne veut pas toujours dire de cesser le feu…
Discipline et camaraderie
Selon monsieur Landry, les relations entre soldats et officiers canadiens en Corée étaient très bonnes. Si bonnes que certains accidents restaient parfois ignorés…
Les canons en Corée
M. Landry nous décrit un peu ce qu’était être canonnier au front en Corée.
Calibrer un canon
Comme sa formation au Canada avait été coupée court, monsieur Landry a dû apprendre à calibrer un canon une fois en fonction en Corée.
Airbursts et Shell Shock
Tout en nous racontant un des rares accidents d’artillerie ayant eu lieu en Corée, monsieur Landry nous permet de comprendre deux termes de langue anglaise utilisés fréquemment par l’armée.
La vie d’un artilleur
Monsieur Landry relate la vie de tous les jours d’un artilleur canadien en Corée.
Formation d’artilleur
Monsieur Landry nous explique pourquoi sa formation d’artilleur a été coupée court avant son départ pour la Corée.
Blessé à la 355
M. Boutot nous raconte dans quelles circonstances lui et deux de ses camarades ont été blessés.
Rations, eau et ustensiles...
Se nourrir et boire au front… pas toujours évident !