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Un anniversaire mémorable

Benoît Roy prit part à la bataille de Falaise. C’est là qu’il sera fait prisonnier par les Allemands.

Le jour du Souvenir

M. Raymond donne son opinion au sujet du jour du Souvenir et du manque d’importance accordé à cette journée.

La camaraderie

M. Raymond nous parle de l’esprit de famille qui régnait sur la ligne de feu.

« …la peur de ne pas se rendre au bout »

La guerre tire à sa fin. M. Raymond parle de la peur de ne pas terminer la guerre sain et sauf.

Personne ne veut aller en patrouille

Personne ne voulait partir en patrouille. M. Raymond explique pourquoi.

Respect pour les militaires allemands

Une fois la guerre terminée, M. Raymond percevait les militaires allemands comme tout autre être humain.

Impossible d’oublier cela…

Voir un compagnon mourir au combat sans pouvoir l’aider, se sentir impuissant devant une telle situation. La vie après la guerre malgré les horreurs du passé…

Importance d’être bien entraîné pour la guerre

M. Raymond parle de l’importance de l’entraînement, puisqu’en arrivant sur un champ de bataille on peut perdre contrôle de soi…

Le prisonnier SS restait arrogant

M. Raymond décrit l’attitude d’un SS fait prisonnier.

Tireurs d’élite allemands

La plus grande peur des soldats était de se trouver dans la mire d’un tireur d’élite.

Importance des sens

Les sens avaient une importance particulière durant la guerre pour détecter la présence et la distance de l’ennemi. Les sons émis par les armes et avions alliés étaient différents de ceux des ennemis…

« Ceux qui meurent pour la patrie vont au ciel. »

Lors d’une bataille aux Pays-Bas, l’aumônier était bien apprécié par les soldats mais il était un peu trop téméraire…

Date de modification :: 2019-02-19