[slab/dalle]
(front/devant)
Hill 70
Côte 79
Lest we forget
N'oublions pas
(back/arrière)
A Project of the
Mountain and District Lions Club
September 2011
Dedicated 12 Nov. 1925
Re-dedicated 16 Sept. 2012
Dévoilé le 12 Nov. 1925
Dévoilé de Nouveau le 16 Sept. 2012
[left flank stone/pierre du flanc gauche]
This park is a memorial to 8,677 Canadian casualties in
The Battle of Hill 70
World War 1
August 15 to 25, 1917
An overwhelming victory for the Canadian Corps
[right flank stone/pierre du flanc droit]
1922
[tablet/tablette]
The Battle of Hill 70
Lens, France
15 – 18 August, 1917
The Battle of Hill 70 has been called the forgotten battle of the First World War of 1914 – 1918. Unlike famous battles in which Canadian soldiers took part, such as Vimy Ridge and Passchendaele, no monument has ever been erected to remember what happened there. Only in the community of Mountain, Ontario is there a memorial expressly dedicated to this important Canadian victory.
In the summer of 1917, Canadian General Sir Arthur Currie was promoted and made the General Officer Commanding of the Canadian Corps of the Canadian Expeditionary Force. For the first time, and for the remainder of the war, all four divisions of the Canadian Corps would be under Canadian command.
On July 7, 1917, the British High Command ordered General Currie and the Canadian Corps to capture the French city of Lens from its German occupiers. Seeing that the city was heavily fortified and easily defended, General Currie proposed that the Canadians instead storm Hill 70, the higher ground north of Lens.
Beginning on Aug. 1, 1917, the Canadian artillery bombarded the German trenches and defences on and in the vicinity of Hill 70. The artillery, for the first time in history aided through real-time observation by radio-equipped aircraft of the Royal Flying Corps, targeted the German defensive positions and gun batteries for two weeks.
At 4:25 A.M. on August 15, 1917 more than 5,000 Canadian infantrymen of the 1st and 2nd Division went over the top and went forward from their trenches preceded by a rolling barrage of shells fired by over 200 Canadian artillery pieces. The rapidity of the Canadian attack took the German defenders by surprise and most of the Canadian objectives were quickly captured.
Despite heavy enemy artillery fire including with newly-invented mustard gas shell, the Canadians consolidated their gains and awaited the German counterattacks. Over the next four days and nights, the Germans would launch attack after attack to try to push the Canadians off Hill 70. None succeeded, as the Canadians tenaciously defended the hill, despite the sweltering summer heat wave, the clouds of poison gas, the ceaseless artillery shelling, and the murderous machine gun fire sweeping the battlefield. Ammunition and water ran low, and fighting often was hand-to-hand, Casualties were heavy on both sides. But the Canadians never relented.
By the end of August 18, the Germans had been completely defeated. No fewer than twenty-one counterattacks had been fought off.
This victory cemented the reputation of the Canadian soldiers as being elite “shock troops” who were among the best Allied troops to fight in the war. The cost was high. The Canadian Corps suffered 5843 casualties during the Battle of Hill 70 including 1505 killed, 4297 wounded and 41 taken prisoner. In all, the Corps suffered 8677 casualties during the fighting of Lens between August 15 and 25, 1917.
(battle map of Hill 70 area)
La bataille de la Côte 70
Lens, France
Du 15 au 18 août 1917
La bataille de la Côte 70 a été souvent désignée lade la Première Guerre mondiale 1914-1918. Contrairement célèbres batailles où les soldats canadiens ont pris part, comme la crête de Vimy et à Passchendaele, aucun monument a été érigée pour commémorer les événements entourant cette bataille. Il n’existe qu’un seul monument spécifiquement désigné pour rappeler cette importante victoire canadienne; il est situé dans la communauté de «Mountain» en Ontario.
À l’été 1917, le Général canadien Sir Arthur Currie, a été promu le grade du Commandant général du Corps canadien de la Force expéditionnaire canadienne. Pour le première fois, et cela jusqu’à la fin de la guerre, les quatre divisions du Corps canadien demeureront sous le commandement canadien.
Le 7 juillet 1917, le Haut Commandement britannique a donné ordre au Commandant Currie et du Corps d’infanterie canadien de reprendre la ville française de Lens occupée par le Allemands. Ayant observé que la ville était bien fortifié assurant une défense facile, le Général Currie a préféré envahir la Côte 70, le point le plus élevé situé au nord de la ville de Lens.
Le 1er août 1917, l’artillerie canadienne a amorcé le bombardement des tranchées et des systèmes de défense de la Côte 70 elle-même et de son environnement immédiat. L’artillerie, pour la première fois de l’histoire soutenue simultanément par l’aviation britannique en contact radio avec les forces canadiennes, a ciblé les positions de défense allemande et leurs batteries pendantes deux semaines.
À 04 :25h, le 15 août 1917, plus de 5000 soldats d’infanterie des Premières et Deuxième Divisons se sont lancés à l’assaut de la Côte 70, un mouvement précédé par un barrage soutenu d’obus provenant de plus de 200 pièces de l’artillerie canadienne. La rapidité de l’attaque canadienne a pris les soldats allemands par surprise et la plupart des objectifs des canadiens ont été atteints.
En dépit du feu intense de l’artillerie ennemie incluant les nouveaux obus contenant le «gaz moutarde», les Canadiens ont consolidé leurs gains sans toutefois ignorer les futures contre-attaques inévitables des forces allemandes. Au cours des quatre jours suivants, jour et nuit, les Allemands ont multiplié leurs attaques afin de déloger les canadiens de la Côte 70 avec ténacité en dépit d’une chaleur d’été étouffante, des nuages de gaz empoisonné, des bombardements d’artillerie sans arrêt et du balayage meurtrier du champ de bataille aux armes automatique. Les munitions et l’eau ont atteint un bas niveau et souvent les combats finissaient en corps à corps. Des deux côtés, les pertes étaient lourdes, mais les Canadiens n’ont jamais cédé.
À la fin de la journée du 18 août, les soldats allemands sont défaits. Les Canadiens avaient résisté à pas moins de vingt et une contre-attaque.
Cette victoire a consolidé la réputation des soldats canadiens comme étant l’élite des «troupes de choc» et les meilleurs soldats parmi les troupes alliés. Le coût était élevé. Durant la bataille de la Côte 70, les pertes se sont élevées à 5843 soldats dont 1505 morts, 4297 blessés et 41 d’entre eux fait prisonniers. Au cours de la bataille à Lens, qui a durée du 15 au 25 août 1917, le Corps canadien a perdu 8677 hommes.
(carte de bataille de la région de la Colline 70)