M. Raymond raconte comment il en est venu à s’enrôler, la propagande à l’époque, son entraînement et la traversée où 6000 soldats ont été entassés sur un bateau qui aurait dû en contenir 1500.
L’invasion de la Normandie
M. Raymond décrit le débarquement en Normandie, l’atmosphère pendant la traversée de la Manche et le bruit alors qu’ils approchaient de la plage.
Carpiquet et Falaise
M. Raymond raconte la bataille de Carpiquet (France) où une douzaine de ses collègues ont été retrouvés pendus par les Allemands, et la bataille de Falaise, avec les chars Panzer de Rommel.
« Ceux qui meurent pour la patrie vont au ciel. »
Lors d’une bataille aux Pays-Bas, l’aumônier était bien apprécié par les soldats mais il était un peu trop téméraire…
Importance des sens
Les sens avaient une importance particulière durant la guerre pour détecter la présence et la distance de l’ennemi. Les sons émis par les armes et avions alliés étaient différents de ceux des ennemis…
Tireurs d’élite allemands
La plus grande peur des soldats était de se trouver dans la mire d’un tireur d’élite.
Le prisonnier SS restait arrogant
M. Raymond décrit l’attitude d’un SS fait prisonnier.
Importance d’être bien entraîné pour la guerre
M. Raymond parle de l’importance de l’entraînement, puisqu’en arrivant sur un champ de bataille on peut perdre contrôle de soi…
Impossible d’oublier cela…
Voir un compagnon mourir au combat sans pouvoir l’aider, se sentir impuissant devant une telle situation. La vie après la guerre malgré les horreurs du passé…
Respect pour les militaires allemands
Une fois la guerre terminée, M. Raymond percevait les militaires allemands comme tout autre être humain.
Personne ne veut aller en patrouille
Personne ne voulait partir en patrouille. M. Raymond explique pourquoi.
« …la peur de ne pas se rendre au bout »
La guerre tire à sa fin. M. Raymond parle de la peur de ne pas terminer la guerre sain et sauf.