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branch : Marine marchande
En attendant un bateau
En 1944, le navire marchand canadien Bloomfield Park passant aux mains des Britanniques, on donne le choix aux hommes de rester à bord. Mais la plupart des hommes ne voulant pas être payés en Livres Sterling (de moindre valeur à l’époque), préfèrent attendre d’être rapatriés.
Un cimetière de bateaux
Longeant la côte de l’Angleterre vers Newcastle upon Tyne, les marins marchands du Bloomfield Park vivent quelques aventures avant que le navire ne soit remis aux Anglais pour le débarquement.
En convoi vers l’Angleterre
Après avoir servi un peu plus de deux ans sur quelques bateaux dans la mer des Caraïbes, M. Lemieux revient au Canada, s’inscrit au dépôt d’équipage Viger de Montréal et se retrouve rapidement dans le bassin de Bedford (Nouvelle-Écosse), à bord du navire marchand Bloomfield Park.
Le SS San Gaspar
Quand M. Lemieux s’est embarqué sur le Dundas, le voyage devait durer trois mois, mais les circonstances en ont voulu autrement…
Un homme à la mer !
M. Lemieux nous raconte un sauvetage peu ordinaire.
Torpillage
Arrêtés à l’embouchure de la même rivière, les navires marchands canadiens Mont Louis et Dundas attendent la marée, alors que les sous-marins allemands rôdent…
Peinturer un navire
Avant que les États-Unis n’entrent en guerre, la mer des Caraïbes et la mer des Sargasses étaient des zones relativement sans danger, mais après, il fallait passer inaperçu pour survivre.
Le Dundas
Le navire marchand Dundas n’ayant pas été conçu pour naviguer en mer, M. Lemieux nous raconte les accommodements nécessaires pour y vivre en temps de guerre.
Transport de la bauxite
Alors qu’il fabrique des balles à l’arsenal de Québec, un ami de la famille propose à M. Lemieux de se rendre à Halifax pour s’embarquer sur le bateau à vapeur Dundas.
Reconnaissance des marins marchands
Longtemps après la guerre, M. de Villers devient un membre clé de la lutte pour la reconnaissance des marins marchands en tant qu’anciens combattants dans la région de Québec.
Les ports
Que ce soit parce qu’ils ne le pouvaient pas ou parce qu’ils ne le voulaient pas, M. de Villers nous explique pourquoi, selon lui, les matelots débarquaient peu dans les ports.
Accident
M. de Villers nous raconte un accrochage entre le navire marchand canadien Point Pelee Park et un pétrolier T2 américain.