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campaign : Normandie
Les collaboratrices…
M. Boivin nous fait part d’une scène qui l’a marqué : l’humiliation des collaboratrices françaises.
Perdre du gallon…
En 1943, M. Boivin arrive dans un camp de renfort en Angleterre, où il est affecté au Régiment de Maisonneuve. À ce moment, il est sergent et instructeur spécialisé en gaz de guerre. Mais un incident le fera descendre en grade…
« Vachement » chanceux
Assignés à la prise d’un dépôt de munitions, M. Thibault est sauvé, mais plusieurs autres y laissent leur vie.
Erreur tactique ?
Un commandant devrait toujours faire inspecter un bâtiment avant d’y faire entrer ses troupes…
« La fête au village ! »
Après s’être évadé d’un hôpital où il était en convalescence en Angleterre, M. Thibault tente de retrouver son régiment en France.
Mot de passe
Blessé au genou lors d’une patrouille à Carpiquet, M. Thibault tente de rentrer au régiment.
Le jour J – vider une casemate
M. Thibault nous raconte un fait d’arme qui a probablement sauvé la vie à plusieurs de ses camarades.
Le jour J – ma tâche première
Chaque fantassin débarquant lors du jour J avait une tâche bien précise. M. Thibault nous raconte la sienne.
Les nuits
Arrivé au front en guise de renfort pour le Régiment de la Chaudière, M. Leblanc nous explique comment lui et les autres nouveaux arrivés s’habituaient au front et s’intégraient au combat.
Manquer à l’appel
M. Caron nous raconte son évasion et le malentendu qui porta ses parents à croire qu’il était mort…
Carpiquet
Tout en nous racontant la vie de tous les jours d’un soldat au front, M. Caron nous fait part de sa pire expérience de combat : la prise de l’aérodrome de Carpiquet.
Jour J
Lors du jour J, M. Caron débarque à Bernières-sur-Mer, dans l’eau et il ne sait pas nager ! Il nous raconte son point de vue sur cette première journée du débarquement et sur les soldats allemands.