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L'arrivée d'un renfort au régiment

M. Faribault raconte qu'il a été envoyé au front comme officier de transport. Il a revu des gars qu'il connaissait à Montréal lorsqu'il était plus jeune.

La traversée

M. Faribault raconte qu'il a fait la traversée vers l'Écosse sur le Queen Mary avec 18 000 autres passagers. La traversée a pris quatre jours.

Engagement et formation d'officier

M. Faribault parle de ses débuts dans les forces alors qu'il est avec les cadets. Il suit sa formation d'officier (sous-lieutenant) à Saint-Jérôme et il s'enrôle en août 1941, à l'âge de 21 ans. Après un entraînement à Farnham, il devient lieutenant dans l'infanterie; il est envoyé en Angleterre quelques mois plus tard.

Antécédents

Il se présente, donne sa date de naissance ainsi que l'endroit où il est né. Son arrière-arrière-grand-père était lieutenant-colonel du régiment de Lavaltrie.

Souvenirs de guerre

M. Gauthier parle de ses souvenirs de guerre et surtout du débarquement en Normandie. Il dit se souvenir de tout ce qui s’est passé durant la guerre.

Entraînement collectif et décès

M. Gauthier décrit l'entraînement suivi avant le débarquement en Normandie, notamment les exercices à l'Île de Wight, en Angleterre. Il raconte aussi comment certains soldats ont été blessés et même tués durant l'entraînement.

Les générations futures

M. Gauthier parle de ses petits-enfants à qui il paie les études universitaires. Il est fier de son travail dans la Légion et dit ne presque jamais parler de la guerre aux enfants. Il préfère parler de la Légion.

Adaptation à la vie civile

M. Gauthier raconte que, à son retour au Canada et à la vie civile, il a terminé ses études et il s'est construit une maison. Lui et son épouse ont eu deux enfants. Il est président de la filiale de la Légion à Chambly.

Son mariage

M. Gauthier raconte comment et où il a rencontré sa future épouse avec qui il est marié depuis 58 ans.

Le port d'Anvers, ma blessure, mon rétablissement

Le régiment de M. Gauthier a reçu ordre de libérer les îles autour du port d'Anvers occupées par un bon nom nombre d'Allemands, en 1944. C'est ici qu'il a été blessé et qu'on l'a éventuellement transporté en Angleterre pour qu'il reprenne du mieux.

Le jour J

M. Gauthier parle du débarquement sur la plage de Normandie. Il raconte le trajet qui les a amenés jusqu'à Caen, par Bernières-sur-Mer, où il y avait beaucoup d'Allemands.

La traversée pour le débarquement

En 1944, les soldats sont envoyés en camion, à Southampton. Ils ne connaissaient pas leur destination; c'était secret. À Southampton, ils ont pris de petits bateaux et ils sont partis le lendemain pour la côte Française. La veille du débarquement à Southampton, on avait ouvert un baril de rhum pour les soldats.

Date de modification :: 2019-02-19