Premier déploiement en Bosnie
Des héros se racontent
Premier déploiement en Bosnie
Transcription
Description
M. Mac Culloch parle de son premier déploiement à Sarajevo, en Bosnie.
Wayne Mac Culloch
Le Major Wayne Mac Culloch est né en 1953 au Cap Breton et il a grandi au Québec. À 18 ans, il a fréquenté le Collège royal militaire pour ensuite s’enrôler en 1968, à titre d’ingénieur militaire. M. Mac Culloch a été déployé trois fois en Bosnie et une fois en Haïti. Il a pris sa retraite après 41 ans de service. Il a ensuite travaillé avec le Ministère de la Défense nationale. Depuis 2004, M. Mac Culloch est un bénévole dévoué pour présenter le “Module de la paix” avec le programme Rencontres du Canada, partageant avec les jeunes l’importance du service et du sacrifice.
Catégories
- Médium :
- Vidéo
- Propriétaire :
- Anciens Combattants Canada
- Date d’enregistrement :
- 9 octobre 2016
- Durée :
- 1:02
- Personne interviewée :
- Wayne Mac Culloch
- Guerre ou mission :
- Forces armées canadiennes
- Emplacement géographique :
- Canada
- Grade militaire :
- Major
- Occupation :
- Ingénieur
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Faire exploser un village
M. Mac Culloch raconte un exercice auquel il a participé lorsqu’il faisait partie du régiment de Génie du combat, soit la démolition d’un village abandonné dans une région isolée au Canada.
Longues journées en Bosnie
M. Mac Culloch explique son horaire très chargé à Sarajevo et donne un exemple d’une entente qui a permis de réduire la mortalité dans la ville.
Être ouvert aux autres idées
M. Mac Culloch souligne que sa culture canadienne lui a été utile pour s’ouvrir aux idées des autres.
Le réseau électrique en Haïti
M. Mac Culloch parle de son déploiement en Haïti, où il a dû user de ruse pour faire surveiller le réseau électrique, cible des saboteurs.
Tragédies en raison de la pluie en Haïti
M. Mac Culloch décrit les conditions précaires des habitants en Haïti et des tragédies qui se répètent lors de fortes pluies.
Négociateur en désarmement en Bosnie
M. Mac Culloch raconte que ses connaissance des chefs militaires l’a aidé à négocier un désarmement en Bosnie.
Les défis pour les familles des militaires déployés.
M. Mac Culloch explique pourquoi, selon lui, les déploiements posent des défis aux familles de militaires.
Rencontrer des militaires des autres pays.
M. Mac Culloch parle des repas multiculturels où il pouvait goûter aux spécialités culinaires des autres pays et en apprendre plus à propos des différentes nations.
La famille change lors des déploiements à l’étranger.
M. Mac Culloch explique que le retour à la maison après des déploiements outre-mer peut poser des défis d’adaptations aux familles de militaires.
Manifestation en Haïti
M. Mac Culloch raconte avoir été confronté à une foule qui cherchait des emplois près d’une usine qu’il allait inspecter en Haïti et qu’il leur a plutôt conseillé d’aller manifester près du palais présidentiel pour avoir de meilleures possibilités d’être entendus.
Parler français et aider les autres
M. Mac Culloch parle de son apprentissage de français et du plaisir de pouvoir travailler dans les deux langues. Il parle aussi de cette caractéristique qui semble innée chez les Canadiens de vouloir aider les autres.
La volonté d’être bénévole
M. Mac Culloch souhaite que les participants à Rencontres du Canada comprennent l’importance de faire du bénévolat.
Le jour du Souvenir
M. Mac Culloch partage ses pensées à propos du jour du Souvenir.
Une société qui respecte les droits humains
M. Mac Culloch mentionne que les militaires canadiens véhiculent le respect des droits humains quand ils servent outre-mer.
Le Module de la paix à Rencontres du Canada
M. Mac Culloch parle du Module de la paix, qu’il anime bénévolement à Rencontres du Canada depuis des années à chaque semaine.
Menacé par des hommes avec des scies mécaniques en Bosnie
M. Mac Culloch explique avoir usé de diplomatie pour résoudre une situation potentiellement dangereuse où il est entré en contact avec des hommes qui buchaient de manière illégale en Bosnie.
Les médailles
M. Mac Culloch nomme ses médailles car il se fait souvent demander cette question par les participants à Rencontres du Canada.
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