Les basiliens français ont fondé le collège St. Michael’s en 1852.
La grande liste encadrée de tous les étudiants du collège St. Michael’s dont on sait qu’ils sont morts à la guerre se trouve maintenant au musée du collège, à Toronto. Texte écrit à la main (style propre aux plaques de cuivre). Six panneaux (en forme de vitrail). Panneau I : (écusson du collège) (en anglais) Le collège St. Michael’s / rend hommage à ses étudiants / qui ont donné leur vie / pendant la guerre. Panneau II : croix simple dessinée à la main au-dessus des mots « Première Guerre mondiale » (en anglais). Panneaux III à V : croix simple dessinée à la main au-dessus des mots « Seconde Guerre mondiale » (en anglais). Panneau VI : (en caractères grecs) « In place of lamentation / there is remembrance, / and pity is become praise. » (Au lieu des lamentations existe le souvenir, et la pitié devient éloges.)
Rocaille (« Jardin de tulipes ») : Mots inscrits (en anglais) sur de petites roches : (croix) « Priez / pour / les nôtres tombés / au cours de la Première Guerre mondiale / et de la / Seconde Guerre mondiale. » Le père O’Brien a commencé à créer un jardin de tulipes spécial dans la cour du collège pour souligner le 50e anniversaire (1995) de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cela faisait partie d’un projet transcanadien appelé « Le Canada se souvient ». Le jardin comprend une petite statue de
Saint?François tenant un oiseau dans sa main droite, des roches, du bois d’épave, de petits conifères et des plantes saisonnières. Jardin entretenu par le père Cecil Zinger, enseignant au collège. L’archiviste Richard McQuade continue (2013) de travailler aux détails des documents militaires concernant les anciens étudiants du collège, dont beaucoup se sont enrôlés dans l’Aviation royale canadienne. Il réunit des renseignements tels que les numéros matricules, des données issues des dossiers du gouvernement, des références croisées, etc. et il est heureux de recevoir d’autres renseignements.