Service militaire
Lieu de l’enterrement/commemoration
Il est enregistré comme ayant été tué par un obus et disparu près de St-Éloi, en Belgique, alors qu’il aurait supposément été attaché au 1st Canadian Tunnelling Company. Il a par conséquent été inscrit au Mémorial de la Porte de Menin, à Ypres. Cependant, son dossier et les Ordres de service courants Partie II du 22e Bataillon mettent cette assertion sérieusement en doute et indiquent qu’il serait plutôt disparu au combat avec le 22e au cours de l’assaut et de la prise de Courcelette.
Enrôlé au 41e Bataillon du Corps expéditionnaire canadien, il a été muté au 22e Bataillon le 11 mai 1915. Le 20 suivant, il partait pour la Grande-Bretagne où il est arrivé à Plymouth, Angleterre, le 29. De Folkestone, il est parti pour la France le 15 septembre et est arrivé à Boulogne, Pas-de-Calais, le jour même pour être tué au combat le 16 en Belgique.
Galerie numérique de Soldat Alphonse Doucet
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Dans les livres du souvenir
Inscription commémorative sur la :
Page 79 du Livre du Souvenir de la Première Guerre mondiale.
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MÉMORIAL DE LA PORTE DE MENIN (YPRES) Belgique
Le Mémorial de la Porte de Menin (Ypres) est situé dans la partie est de la ville de Ypres (maintenant Ieper) dans la province de la Flandre-Occidentale, sur la route de Menin et de Courtrai. Il porte les noms de 55 000 hommes disparus sans laisser de traces lors de la défense du saillant d'Ypres durant la Première Guerre mondiale.
Dessiné par Sir Reginald Blomfield et érigé par la Commission des sépultures de guerre de l'Empire (maintenant du Commonwealth), ce Mémorial comprend une salle du Souvenir " longue de 36,6 mètres et large de 20,1 mètres. Au centre se trouve un large escalier conduisant aux remparts qui surplombent les douves et les loggias sur colonnes qui entourent le monument. Sur les murs intérieurs de la salle, du côté de l'escalier, ainsi que sur les murs des loggias, les noms des morts sont inscrits par régiments et par corps sur des panneaux en pierre de Portland.
Au-dessus de l'arche centrale on peut lire en anglais une inscription dont voici la traduction:
AUX ARMÉES DE L'EMPIRE BRITANNIQUE QUI COMBATTIRENT ICI DE 1914 À 1918 ET À LEURS MORTS DONT LA TOMBE EST INCONNUE.
Et, au-dessus de l'escalier qui conduit à la salle principale, on peut lire en anglais une inscription dont voici la traduction :
À LA PLUS GRANDE GLOIRE DE DIEU ICI SONT INSCRITS LES NOMS DES SOLDATS QUI SONT TOMBÉS DANS LE SAILLANT D'YPRES, MAIS QUE LES HASARDS DE LA GUERRE ONT EMPÊCHÉS D'AVOIR UNE IDENTITÉ ET UNE SÉPULTURE HONORABLE COMME LEURS CAMARADES DANS LA MORT.
Chaque jour à 20 h, une cérémonie toute simple rappelle encore aujourd'hui le souvenir des morts. Alors que la circulation est arrêtée à la barrière, deux clairons (quatre dans les grandes occasions) sonnent l'appel aux morts. Les deux trompettes d'argent utilisées durant la cérémonie ont été données au Comité de l'appel aux morts par un officier de l'Artillerie royale canadienne, qui servait dans la 10e batterie de St. Catharines (Ontario), à Ypres, en avril 1915."
Pour plus d’informations, visitez la Commission des sépultures de guerre du Commonwealth (site disponible en anglais seulement).
L’image du coquelicot est une marque déposée de la Légion royale canadienne (Direction nationale) et est utilisée avec sa permission. Cliquez ici pour en savoir plus sur le coquelicot.
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