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location : Europe
Le Typhoon
Joseph Anatole Côté nous parle de l’avion qu’il pilotait, le Typhoon.
Nous avons défendu notre liberté.
M. Allard indique pourquoi il s’est joint aux efforts de guerre; il croit que les Canadiens français n’ont pas défendu leur pays, mais qu’ils se sont battus pour la liberté et la sécurité de leurs familles.
Après l’Armistice
M. Allard décrit les activités qui ont suivi l’Armistice, notamment les longues marches pour joindre d’autres bataillons. Il mentionne aussi qu’il s’est retrouvé au front une seule semaine, soit celle qu’il a passée au Canal du Nord.
Tir ami dans le chaos
Tout en nous racontant une triste anecdote de tir ami, M. Lafrenière nous amène à réfléchir sur la haine, la raison et le devoir.
Londres et la victoire
M. Lafrenière nous fait revivre l’ambiance de fête exaltée dans les rues de Londres au moment de la fin de la guerre.
Bonne chair en Grande-Bretagne
Le plaisir et l’amour avaient aussi leur place en guerre. M. Lafrenière nous raconte ses moments d’épicurisme en Angleterre.
Ma mission la plus terrifiante
Lors de sa toute première mission, M. Lafrenière a évité tellement de tirs de batteries antiaériennes qu’il se juge miraculé d’y avoir survécu.
Le jour J vu du ciel
Tout en nous donnant ses impressions de ses propres tâches de bombardement, M. Lafrenière nous raconte la dévastation de l’armée de terre dont il témoignait.
La force de la camaraderie
Cette vignette nous permet de comprendre pourquoi la camaraderie militaire est parfois plus forte que les liens familiaux.
Pas facile de bombarder les Allemands
En nous racontant son séjour en Angleterre ainsi que ses missions de bombardement, M. Lafrenière nous expose l’admiration qu’il avait pour la machine allemande.
La guerre peut faire craquer
M. Gautreau nous raconte les moments terrifiants qu’il a vécus lors de son arrivée en Allemagne alors que son sergent perdait la raison.
Mission périlleuse (partie 3)
Robert Decorby nous parle de sa libération du camp de prisonniers et de son retour au Canada.