En 1943, M. Boivin arrive dans un camp de renfort en Angleterre, où il est affecté au Régiment de Maisonneuve. À ce moment, il est sergent et instructeur spécialisé en gaz de guerre. Mais un incident le fera descendre en grade…
Les collaboratrices…
M. Boivin nous fait part d’une scène qui l’a marqué : l’humiliation des collaboratrices françaises.
Prendre une casemate
M. Boivin un des hauts faits de guerre accompli par ses compagnons et lui.
Prisonnier – 1re partie
M. Boivin nous raconte le renversement de situation qui a occasionné sa capture.
Prisonnier – 2e partie
Après avoir été capturé, M. Boivin, ses compagnons et leurs gardiens sont presque « miraculés ».
Prisonnier – 3e partie
Capturés aux Pays-Bas, les hommes marchent jusqu’à Knokke (Belgique), où les Allemands traitent les prisonniers canadiens de façon peu conventionnelle…
Prisonnier – 4e partie
M. Boivin et les autres prisonniers canadiens comprennent enfin pourquoi leurs gardiens allemands les traitaient aussi bien depuis leur capture…
Anecdotes comiques
On peut rire partout, même à la guerre ! M. Boivin nous raconte quelques moments cocasses.
Les pionniers démineurs
M. Boivin nous explique le rôle des démineurs au sein d’un bataillon de pionniers.
Mines de bois
Les Allemands avaient bien des subterfuges pour berner les Alliés, y compris des mines indétectables.
Reprendre du galon
En décembre 1944, M. Boivin est retiré du front et envoyé en Angleterre afin de former les troupes de renfort. C’est à cette occasion qu’il retrouve quelques grades…
Une vieille amie
M. Boivin avait rencontré une jeune Française pendant la guerre. Il la revoit soixante-cinq ans plus tard…