Les Hollandais respectent beaucoup les Canadiens
Des héros se racontent - La Seconde Guerre mondiale
Les Hollandais respectent beaucoup les Canadiens
Transcription
Description
M. Gauthier parle d’une discussion qu’il a eu en 2005 avec une Hollandaise qui a vécu la guerre et pourquoi son peuple n’oublie pas les Canadiens.
Maurice Gauthier
Maurice Gauthier est né en 1924 à Hull, au Québec. Il a grandi sur une ferme à Cantley, un village irlandais où il a appris l’anglais. M. Gauthier s’est enrôlé en août 1944 à Ottawa. Il a servi avec les Fusiliers Mont-Royal en Belgique, en Allemagne et en Hollande.
Catégories
- Médium :
- Vidéo
- Propriétaire :
- Anciens Combattants Canada
- Date d’enregistrement :
- 29 mai 2015
- Durée :
- 1:05
- Personne interviewée :
- Maurice Gauthier
- Guerre ou mission :
- Seconde Guerre mondiale
- Emplacement géographique :
- Hollande/Pays-Bas
- Campagne :
- Libération de la Hollande
- Branche :
- Armée
- Unité ou navire :
- Fusiliers Mont-Royal
- Grade militaire :
- Soldat
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Enrôlement et entraînement
M. Gauthier raconte les raisons pour lesquelles il s’est enrôlé, la réaction de ses parents ainsi que son entrainement.
La traversée en Europe
M. Gauthier décrit ses déplacements du Canada vers l’Europe à bord du Pasteur. Il nous explique qu’il a trouvé un moyen pour bien manger pendant la longue traversée.
Sauvé par le casque de mon frère
M. Gauthier nous explique qu’il a rencontré son frère Clément à Nijmegen et que grâce au casque que ce dernier lui a donné, il a eu la vie sauve lors d’un bombardement en Allemagne.
La forêt du Reichwald et du Hochwald
M. Gauthier parle des violents combats du côté allemand, dans la forêt du Reichswald et du Hochwald et d’un piège évité par le travail des ingénieurs.
Prendre des prisonniers allemands à Groningen
M. Gauthier décrit la rude bataille dans la ville de Groningen, où les combats se font de maison en maison et d’avoir capturé des prisonniers allemands.
Apprendre la nouvelle de la libération à Oldenburg
M. Gauthier parle de la fin de la guerre, alors qu’il se trouvait dans la ville de Oldenburg et des célébrations de la libération.
Frôlé par les balles dans un canal
M. Gauthier décrit le terrain en Hollande et des difficultés à traverser un canal alors que des balles l’ont frôlé.
La ténacité de l'ennemi et le talent de Dextraze
M. Gauthier raconte qu’il a été opposé à un ennemi qui n’abandonnait pas et il fait mention du talent de Dextraze pour contrôler l’avancée sous le couvert de l’artillerie.
La peur
M. Gauthier explique que la peur est ressentie quand il y a des bombardements.
La mort sur le champ de bataille
M. Gauthier parle des circonstances du décès de deux camarades qui sont morts sur le champ de bataille.
La famine
M. Gauthier nous explique ce qu’il a fait avec des camarades pour aider des familles hollandaises à manger et se vêtir vers la fin de la guerre.
La propagande
M. Gauthier explique comment la propagande peut influencer la perception de l’autre et comment les deux côté s’en servent.
Des moments drôles lors de la guerre
M. Gauthier raconte une anecdote du temps de guerre où il a constaté qu’un camarade avait un talent pour la course.
Fierté pour le service
M. Gauthier exprime de la fierté pour son service en temps de guerre.
Le jour du Souvenir
M. Gauthier raconte ce qu’il fait et comment il se sent lors du jour du Souvenir.
C'est dur de parler de la guerre
M. Gauthier nous confie avoir eu de la difficulté à s’ajuster à la vie normale au retour de la guerre. Le temps et le travail sur la ferme l’ont aidé.
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