Ce que j’ai le plus apprécié
Des héros se racontent
Ce que j’ai le plus apprécié
Transcription
Description
M. Aubé parle de ce qu’il a le plus apprécié en déploiement.
Étienne Aubé
Monsieur Aubé est né en 1981 à Drummondville, au Québec. À l’âge de 18 ans, il cherchait une carrière qui le mettrait au défi. Il ne connaissait pas beaucoup la vie militaire mais un ami l’a convaincu de s’enrôler dans les Forces armées canadiennes. Au début, il pensait que partir à l’étranger signifiait aller participer à la guerre. Après deux déploiements en Afghanistan en tant que sapeur de combat, il a compris qu’un rôle principal des Forces est d’aider les personnes marginalisées et de changer des vies. En juillet 2009, M. Aubé a presque perdu la vie quand il a marché sur un dispositif explosif improvisé. En retournant au Canada, il a reçu une aide précieuse du programme Sans Limites, ce qui l’a aidé à relever de nouveaux défis, y compris participer aux Jeux Invictus 2017.
Catégories
- Médium :
- Vidéo
- Propriétaire :
- Anciens Combattants Canada
- Date d’enregistrement :
- 29 septembre 2017
- Durée :
- 0:37
- Personne interviewée :
- Étienne Aubé
- Emplacement géographique :
- Afghanistan
- Campagne :
- Afghanistan
- Branche :
- Armée
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L’enrôlement
M. Aubé explique ses raisons de s’inscrire dans les Forces.
Ils pensaient que je vais revenir après quelque temps…
M. Aubé décrit les réactions de sa famille à son enrôlement dans les Forces.
La formation
M. Aubé parle de sa formation et de ses déploiements dans les Forces.
Déployé en Afghanistan deux fois
M. Aubé explique les raisons pour lesquelles les Forces armées canadiennes étaient déployées en Afghanistan.
Le choc culturel
M. Aubé explique le choc culturel qu’il a vécu en Afghanistan.
Le travail en Afghanistan
M. Aubé décrit les diverses tâches qu’il faisait en Afghanistan, dont une bonne partie de son temps à fournir de l’aide humanitaire de différentes façons.
Les règles d’engagement dans une mission offensive
M. Aubé explique comment les règles d’engagement étaient suivies dans le cadre de la mission offensive en Afghanistan et que les Canadiens n’étaient pas les premiers à tirer.
Je suis en train de mourir
M. Aubé décrit la journée du 15 juillet 2009, où il son unité participait au nettoyage des environs du village de Nakonay. Il parle du décès de son compagnon d’armes Sébastien Courcy, ainsi que de l’explosion qui lui a presque coûté la vie le lendemain.
Les occasions spéciales manquées
M. Aubé raconte comment ses proches ont vécu l’Halloween alors qu’il était déployé et comment les gars en déploiement vivent les occasions spéciales.
La camaraderie
M. Aubé parle de l’importance de la camaraderie avec un exemple lors d’un déploiement.
Le retour à la maison
M. Aubé décrit ses deux retours à la maison après des déploiements outre-mer, et que dans les deux cas, ce fut difficile, mais pour des raisons différentes.
On a vraiment changé la vie des gens là-bas
M. Aubé explique qu’initialement, il croyait qu’il s’en allait en guerre, mais il a réalisé que l’aspect humanitaire de la mission était tout aussi important.
Mon passage au sein des Forces a marqué ma vie
M. Aubé raconte à quel point son passage dans les Forces armées lui a permis de mieux se connaitre.
Le jour du Souvenir
M. Aubé exprime ce qu’il ressent le 11 novembre, lors du jour du Souvenir, spécialement depuis 2009.
J’ai décidé de me reprendre en main
M. Aubé raconte la fierté qu’il a de représenter le Canada aux jeux Invictus, mais nous rappelle qu’après sa blessure, il vivait des moments de révolte; il a donc dû faire beaucoup d’efforts.
Le plus beau programme des Forces armées canadiennes
M. Aubé dit que le programme Sans limites lui a permis de réaliser que les limites qu’il avait, c’est lui qui se les imposait et qu’il pouvait se dépasser s’il avait le désir de continuer.
Le support de la population lors des jeux Invictus
M. Aubé exprime ce qu’il ressent du support de la population durant les jeux Invictus à Toronto en septembre 2017.
Ensemble, on peut tasser des montagnes
M. Aubé parle de l’importance de cesser de se voir en victime et de chercher de l’aide si on en a besoin. Avec une équipe, on peut accomplir beaucoup.
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