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Son travail en Islande

Son travail en Islande

Rendu en Islande, la compagnie C s'est employée à construire un aéroport. M. Brisebois donne beaucoup d’information sur l’Islande et sur ce qu’il faisait pour se distraire.

Le voyage outre-mer

Le voyage outre-mer

Pendant que son entraînement se poursuit à Valcartier, M. Brisebois est informé que, le 1er juillet 1940, il s’en va outre-mer. Il s’embarque donc sur l’Empress of Australia à Halifax et il débarque en Islande.

Nommé caporal

Nommé caporal

M. Brisebois est nommé caporal, malgré lui.

La Guerre est déclarée

La Guerre est déclarée

M. Brisebois raconte qu'il s'est joint en septembre 1939 au Régiment des Fusiliers Mont-Royal avec lequel il a servi outre-mer pendant trois ans et demi.

Enfance

Enfance

M. Brisebois donne plusieurs détails sur son enfance, entre autres, qu’il a été élevé dans un orphelinat à Montréal car sa mère est décédée alors qu’il n’avait que huit ans.

Le soldat canadien-français

Le soldat canadien-français

M. Faribault raconte la vie de tous les jours durant la guerre en citant divers exemples.

La population allemande

La population allemande

M. Faribault parle du temps où il était en Allemagne et du marché noir qui s’y faisait.

La peur

La peur

M. Faribault parle de la peur ressentie durant la guerre et de la perte de quatre de ses hommes.

Le retour et l'accueil au Canada

Le retour et l'accueil au Canada

Après avoir fêté à Paris, M. Faribault a été envoyé en Angleterre pour préparer le retour du régiment. Puisqu'il n'y avait pas de bateau pour revenir au Canada, M. Faribault profita de ses congés pour aller à Londres, où il a dépensé tout son argent. Finalement, le 28 octobre, il est revenu au Canada à bord du Queen Elizabeth, et il a pu retrouver les siens à Montréal.

Célébrer la fin de la guerre à Paris

Célébrer la fin de la guerre à Paris

M. Faribault raconte que, après Berlin, on lui a remis un laissez-passer de neuf jours pour Paris où il a bien mangé et bu du bon champagne. Il parle aussi de ce qu'il a vendu sur le marché noir pendant qu'il était à Berlin.

Défilé de la victoire à Berlin, après la guerre

Défilé de la victoire à Berlin, après la guerre

M. Faribault raconte qu'il a été choisi pour faire partie d'un bataillon spécial qui se rendrait à Berlin assister au défilé de la victoire, à la fin de la guerre. Il a trouvé pénible de voir Berlin parce que tout avait été détruit. Il était bien logé et il s'est quand même bien amusé pendant trois semaines.

Capture de l'aérodrome Alexander à Oldenburg, en Allemagne, et annonce de la fin de la guerre

Capture de l'aérodrome Alexander à Oldenburg, en Allemagne, et annonce de la fin de la guerre

M. Faribault parle de la stratégie employée pour traverser un canal qui les séparait de l’aérodrome Alexander, en Allemagne, aérodrome que sa compagnie devait capturer.

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